L'aménagement de nos villes a été conçu depuis les années 50 pour la voiture. Aujourd'hui, l'exigence de sauvegarde de l'environnement et l'aspiration à une meilleure qualité de vie incitent à transformer les axes routiers, polluants et bruyants, pour une répartition plus équilibrée entre tous les usagers, piétons, cyclistes, bus, voitures individuelles.
A Saint-Mandé, un tel aménagement de l'avenue du Général de Gaulle me semble des plus urgent. La liste municipale "Saint-Mandé Ouvrons l'avenir" à laquelle j'appartiens a fait des propositions dans ce sens. Mais cette réflexion doit être le fruit d'une collaboration entre la ville et le Conseil général du Val-de-Marne, puisque cette avenue est une voie départementale, et surtout elle doit être nourrie par une consultation des Saint-Mandéens et des autres personnes concernées, je pense en particulier aux commerçants.
Les propositions suivantes pourront donc être soumises à la réflexion de chacun :
- suppression du stationnement entre la mairie et l'église, compensée par la construction d’un parking souterrain (c'est possible sous la place du marché de l'Alouette, une étude a déjà été réalisée);
- priorité donnée aux piétons par l’élargissement et l'abaissement des trottoirs et l’implantation de bancs publics;
- création d'une piste cyclable intégrée dans un véritable réseau relié aux communes voisines et bénéficiant de parcs à vélos;
- étude, dans un second temps, d'une révision du plan de circulation global.
Ces aménagements me paraissent nécessaires afin d'offrir une meilleure qualité de vie à chaque Saint-Mandéen, mais ils le sont aussi et surtout pour garantir le droit des personnes handicapées à se déplacer.
Chacun peut en effet remarquer, à Saint-Mandé, à quel point il est difficile pour une personne en fauteuil roulant ne serait-ce que d'utiliser les trottoirs dans notre ville. Cette semaine encore, j'ai vu une dame en fauteuil électrique se déplacer avenue du Général de Gaulle sur la chaussée, au milieu des voitures. Il y a trois ans, un monsieur résidant à l'Institut le Val-Mandé a réalisé une vidéo sur les difficultés qu'il éprouvait pour gravir les trottoirs avec son fauteuil et pour faire ses courses chez les commerçants. Depuis, rien n'a été fait.
Le respect de la liberté de déplacement de tous doit être une priorité pour le prochain mandat, aussi bien des élus municipaux que du futur conseiller général, qui devront travailler en étroite collaboration.
Sandra Provini, candidate socialiste pour le canton de Saint-Mandé.
A Saint-Mandé, un tel aménagement de l'avenue du Général de Gaulle me semble des plus urgent. La liste municipale "Saint-Mandé Ouvrons l'avenir" à laquelle j'appartiens a fait des propositions dans ce sens. Mais cette réflexion doit être le fruit d'une collaboration entre la ville et le Conseil général du Val-de-Marne, puisque cette avenue est une voie départementale, et surtout elle doit être nourrie par une consultation des Saint-Mandéens et des autres personnes concernées, je pense en particulier aux commerçants.
Les propositions suivantes pourront donc être soumises à la réflexion de chacun :
- suppression du stationnement entre la mairie et l'église, compensée par la construction d’un parking souterrain (c'est possible sous la place du marché de l'Alouette, une étude a déjà été réalisée);
- priorité donnée aux piétons par l’élargissement et l'abaissement des trottoirs et l’implantation de bancs publics;
- création d'une piste cyclable intégrée dans un véritable réseau relié aux communes voisines et bénéficiant de parcs à vélos;
- étude, dans un second temps, d'une révision du plan de circulation global.
Ces aménagements me paraissent nécessaires afin d'offrir une meilleure qualité de vie à chaque Saint-Mandéen, mais ils le sont aussi et surtout pour garantir le droit des personnes handicapées à se déplacer.
Chacun peut en effet remarquer, à Saint-Mandé, à quel point il est difficile pour une personne en fauteuil roulant ne serait-ce que d'utiliser les trottoirs dans notre ville. Cette semaine encore, j'ai vu une dame en fauteuil électrique se déplacer avenue du Général de Gaulle sur la chaussée, au milieu des voitures. Il y a trois ans, un monsieur résidant à l'Institut le Val-Mandé a réalisé une vidéo sur les difficultés qu'il éprouvait pour gravir les trottoirs avec son fauteuil et pour faire ses courses chez les commerçants. Depuis, rien n'a été fait.
Le respect de la liberté de déplacement de tous doit être une priorité pour le prochain mandat, aussi bien des élus municipaux que du futur conseiller général, qui devront travailler en étroite collaboration.
Sandra Provini, candidate socialiste pour le canton de Saint-Mandé.
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