mardi 12 février 2008

Deux priorités pour le département dans les six prochaines années

Parmi les compétences dévolues au département par les lois de décentralisation, deux domaines me semblent réclamer une attention particulière dans les années à venir : la dépendance, en raison de l'allongement de la durée de la vie, et la défense de l'environnement, dont chacun aujourd'hui connaît l'urgence.

C'est pourquoi, si je suis élue conseillère générale, le 16 mars prochain, je m'engage à siéger dans les deux commissions qui ont la charge de ces questions.

Auprès de la commission « Droits sociaux, solidarité, santé », dont la politique ambitieuse se traduit dans notre ville à l’Institut du Val-Mandé qui accueille plus de 120 adultes handicapés, mes priorités seront :

- le combat contre les risques d’exclusion liés à l’âge avec des solutions adaptées à la situation de chacun (maintien à domicile, création de places d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, accompagnement du vieillissement des personnes handicapées dans des structures adaptées) ;

- la liberté de déplacement des personnes à mobilité réduite (développement du transport départemental spécialisé Filival, mise en accessibilité des transports collectifs, aménagement de la voirie, particulièrement urgent dans notre ville, notamment avenue du Général de Gaulle).

Auprès de la commission « Environnement et développement durable », je défendrai des mesures à la fois urgentes et créatrices d’emplois et de dynamisme économique :

- la réduction des pollutions dues aux transports routiers (en privilégiant le ferroutage et le fluvial sur la Seine), le développement des transports collectifs et des circulations douces ;

- la diminution de l’impact énergétique des Val-de-Marnais (énergies renouvelables comme le solaire et la géothermie, respect des normes environnementales HQE dans les équipements publics et les logements sociaux) ;

- le développement de petites stations d’épuration par les techniques végétales afin de réduire la pollution de la Marne et de la Seine et d’y réintroduire la biodiversité ;

- l’introduction de clauses environnementales exigeantes dans les marchés publics.

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